Montréal, le jardin botanique, l'insectarium et le biodôme
Nous sommes ensuite passés dans les serres d'exposition en traversant plusieurs "atmosphères", de la forêt tropicale humide aux orchidées et aracées en passant par les bambous, palmiers et bananiers, les plantes tropicales dites "économiques" à partir desquels on obtient des médicaments, des condiments, en traversant une zone de fougères variées et impressionnantes, des bégonias magnifiques, des plantes de régions arides, les plantes-cailloux de l'hacienda, les bonzaïs du jardin céleste et la grande serre d'exposition.
Une série de "macros" réalisée par Cyril
Puis nous avons traversé la roseraie pour arriver à l'insectarium
Ici, rencontre avec de sympathiques bestioles dont on est assez content que certaines soient de taille réduite.
Triste fin ! Vaut-il mieux finir comme ça que bouffé par un plus vorace que soit ?
A la sortie de l'insectarium, retour dans le monde botanique où nous attendent le jardin des sous-bois, le jardin des Prelières-Nations, le jardin japonais et le jardin de Chine.
En passant, croisement de "voiles" ou quand l'obscurantisme des uns n'a d'égal que celui des autres
Nous avons traversé l'arborétum
pour trouver la très instructive "maison de l'arbre".
Il était ensuite temps de nous diriger vers le biodôme
Récupération d'une construction issue des Jeux Olympiques, cet ensemble est devenu un genre de musée de l'environnement. Des écosystèmes ont été restitués et on peut juste déplorer que l'on ait cru bon d'y inclure du "vivant". Certains animaux n'ont en effet pas leur place dans cet environnement qui doit tout de même leur paraître un peu réduit. Le trajet est divisé en quatre "mondes" : la forêt tropicale, la forêt Laurentienne (celle que nous avons traversée pour aller de Québec au Lac Saint-Jean), le Saint-Laurent marin et le monde polaire.
Les pattes sciées par des km de balade et de piétinement, retour à l'hotel et sa bienfaitrice piscine.